Le Figaro - 13/03/2006
Doucereuse toxicité des familles
Comment expliquer la profonde emprise qu’exerce ce spectacle et sur l’esprit et sur le corps ?...
Les Inrocks - 14/03/2006
Le festin nu
Avec « Automne et Hiver » de Lars Noren, les lucioles font le coup du diner de famille qui tourne au drame. Un Régal…
Le Monde – 10/03/2006
Les abîmes d’une famille en crise
A la Bastille, « Automne et hiver », du Suédois Lars Norén est portée par des comédiens et une mise en scène irréprochables. …
Le littéraire.com - 09/03/06
Automne et hiver … au spectacle
La famille est là, installée autour d’une table, un espace Ikéa - skaï et inox, surfaces géométriques et lisses : aseptisé.
Le spectateur pénètre…
theatreonline – 15/03/06
Orageux repas en famille
À l’époque où l’hiver scandinave approche, prolongeant les ombres et forçant les gens à se réfugier dans la vie d’intérieur, Margareta et Henrik reçoivent leurs deux filles…
L’Humanité – 13/03/06
Lucioles et autres coléoptères
[…] Un huis clos familial oppressant, une sorte de « Festen » durant lequel non-dits et règlements de comptes vont éclater, entre la poire et le fromage. Les acteurs jouent avec précision, évoluant dans un décor…
Libération - 03 /03/06
Sur un nerf de famille
Ils sont déjà à table lorsque les spectateurs prennent place. La mère, le père et les deux filles. Il y a du vin dans les verres. Et, comme dans tous les repas de famille, ça parle dans tous les sens…
Télérama sortir – 15/03/06
Ecrivain des pugilats verbaux, le Suédois Lars Norén a livré, avec "Automne et hiver", une pièce étonnamment troublante. Sans doute parce qu’elle se situe au cours d’un de ces repas de famille connus de tous…
Le Figaroscope – 22/03/06
Mortes saisons
Pierre Maillet et Mélanie Leray mettent en scène une version racourcie de la pièce, mais en gardant l’essentiel. On entre dans un univers qui nous prvient lentement à travers des chuchotements, des moments volés à une intimité familiale, comme si nous arrivions en retard à ce repas. De l’insignifiance des mots, de leur platitude, on passe à leur violence doucereuse, aux aveux. Et l’équilibre fragile qui réunissait cette famille s’écroule avec fracas. L’émotion nous arrive par rafales, comme un vent d’automne qui balaie tout sentiment. Un vent qui bouleverse nos certitudes et nous entraîne vers cet hiver de la vie, où tout se fige. Vers une mort lente qui ne dit pas son nom. C’est bouleversant.